V
Cette notion est relativement nouvelle en économie ou l’on parle de plus en plus de cercles vertueux (par opposition aux cercles vicieux). Qu’on associe cette notion à la figure du cercle, symbole de perfection divine, n’a rien d’étonnant. La théologie catholique distingue trois vertus théologales ; la foi, l’espérance et la charité. Dans notre conception la charité, notée X est le principe de reconnaissance de l’autre en nous et de reconnaissance de nous en l’autre ; Cette vertu se manifeste dans le psychisme humain par les sentiments d’empathie ou de compassion qui conduisent à ne pas accepter la souffrance d’autrui en ce qu’elle pourrait être nôtre ; elle est une composante essentielle de l’évolution démocratique. La foi notée Y est la confiance en la possibilité de résoudre les problèmes humains . Elle s’enracine dans l’angoisse existentielle des quanta humains qui est le moteur de la science . L’espérance, notée Z n’est autre que l’énergie potentielle du crédit. Ces trois composantes régissent un processus qu’on a pu identifier, sans doute avec beaucoup d’exagération à la christianisation des mœurs (aime ton prochain comme toi même), correspond à ce que le sociologue Norbert Elias a appelé civilisation des mœurs.
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